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Vendredi 26 juin 2009
Conférence
« Le sens des réparations »
Maison des Mines 270 rue Saint-Jacques 75005 Paris
COMMUNIQUE MIR France
Le projet de Loi déposé en 1998 par Mme Taubira, Députée de Guyane, prévoyait dans son article 5 d’instaurer « un comité de personnalités qualifiées chargées de déterminer le préjudice subi et d'examiner les conditions de réparation due au titre de ce crime ».
http://www.comite-memoire-esclavage.fr/
Le Plan d’Action de la 3e Conférence des Nations Unies contre le racisme, réaffirmé par la Communauté internationale en avril 2009, consacrait quant à lui un chapitre aux Réparations et après avoir regretté « les souffrances et les maux indicibles subis par des millions d’hommes, de femmes et d’enfants du fait de l’esclavage, de la traite des esclaves, de la traite transatlantique des esclaves, de l’apartheid, du génocide et des tragédies passées », soulignait que « certains États ont pris l’initiative de présenter leurs excuses et ont versé des réparations ». Et ainsi que le soulignait dans son allocution en plénière le représentant du MRAP : à l’heure d’aujourd’hui, « admettre les fautes commises dans le passé et y apporter les réparations requises nous paraît inévitable ».
http://www.un.org/durbanreview2009/
La reconnaissance de ces crimes historiques qui ont un impact au présent ne prend sens que par la détermination à réparer qui l’accompagne.
Il importe de souligner que dans la législation internationale, la reconnaissance ouvre droit à réparation.
En France, c’est en 1992, à l’occasion des célébrations du 500e anniversaire de l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique, qu’un courrier a été adressé au Président de la République par le CIPN (Comité International du Peuple Noir) pour exiger des réparations.
Et depuis 2001, le Mouvement International pour les Réparations, sous l’égide de Garcin MALSA, a initié en Martinique un « Konvwa pou Reparasyon » qui rassemble chaque mois de mai des centaines de participants marchant pendant une semaine de commune en commune, afin d’animer avec l’ensemble de la population le débat sur la teneur des Réparations.
Ont notamment participé à ce Konvwa 2009, Luc Reinette (Fondateur du CIPN) et Elie Domota (LKP) de Guadeloupe, et Benoît Bechet (UTG) de Guyane.
Le projet de Loi déposé en 1998 par Mme Taubira, Députée de Guyane, prévoyait dans son article 5 d’instaurer « un comité de personnalités qualifiées chargées de déterminer le préjudice subi et d'examiner les conditions de réparation due au titre de ce crime ».
http://www.comite-memoire-esclavage.fr/
Le Plan d’Action de la 3e Conférence des Nations Unies contre le racisme, réaffirmé par la Communauté internationale en avril 2009, consacrait quant à lui un chapitre aux Réparations et après avoir regretté « les souffrances et les maux indicibles subis par des millions d’hommes, de femmes et d’enfants du fait de l’esclavage, de la traite des esclaves, de la traite transatlantique des esclaves, de l’apartheid, du génocide et des tragédies passées », soulignait que « certains États ont pris l’initiative de présenter leurs excuses et ont versé des réparations ». Et ainsi que le soulignait dans son allocution en plénière le représentant du MRAP : à l’heure d’aujourd’hui, « admettre les fautes commises dans le passé et y apporter les réparations requises nous paraît inévitable ».
http://www.un.org/durbanreview2009/
La reconnaissance de ces crimes historiques qui ont un impact au présent ne prend sens que par la détermination à réparer qui l’accompagne.
Il importe de souligner que dans la législation internationale, la reconnaissance ouvre droit à réparation.
En France, c’est en 1992, à l’occasion des célébrations du 500e anniversaire de l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique, qu’un courrier a été adressé au Président de la République par le CIPN (Comité International du Peuple Noir) pour exiger des réparations.
Et depuis 2001, le Mouvement International pour les Réparations, sous l’égide de Garcin MALSA, a initié en Martinique un « Konvwa pou Reparasyon » qui rassemble chaque mois de mai des centaines de participants marchant pendant une semaine de commune en commune, afin d’animer avec l’ensemble de la population le débat sur la teneur des Réparations.
Ont notamment participé à ce Konvwa 2009, Luc Reinette (Fondateur du CIPN) et Elie Domota (LKP) de Guadeloupe, et Benoît Bechet (UTG) de Guyane.
Garcin MALSA; Benoit BECHET; Luc REINETTE
Théo LUBIN; Elie DOMOTA
Vidéo : Réaction pris à chaud ; J-P OMOTUNDE
« 9ème KONVWA pou REPARASYON »
Martinique 2009
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